Père Kano : Et l’athlétisme ?
Chinatsu : Nous participons à la Winter Cup et avons passé le deuxième tour.
Père Kano : Je vois. Tu travailles dur.
Chinatsu : Père, j’ai quelque chose à te dire. Elle serre le poing à sa hanche Je sors avec Taiki
Père Kano s’arrête et tient encore plus sa tête Père Kano : Prépare tes affaires quand je reviens. Tu partiras et resteras chez moi avec moi et…
Chinatsu hausse la voix contre son père Chinatsu : Et toutes ces choses que tu as dites sur mon trajet !? C’est un moment important pour moi. J’ai besoin de m’entraîner autant que possible.
Père Kano : Maintenant que je sais que tu es en couple, je ne peux pas vous laisser vivre ensemble comme ça.
Chinatsu : Je suis restée pour l’athlétisme. Nous avons gardé une relation propre. Et c’est grâce à Taiki que j’ai réussi à traverser les moments difficiles.
Père Kano : Et pourtant, tu n’as jamais atteint les nationales.
L’explosion de colère du père Kano fige Chinatsu. Père Kano s’arrête aussi, comme s’il regrettait ce qu’il venait de dire.
Chinatsu : Je ne peux pas croire que tu aies dit ça.
Les cases ne montrent jamais le visage complet de Père Kano. Chinatsu s’enfuit en courant devant Taiki et part seule. Taiki voit Père Kano assis seul, la tête baissée. Taiki se souvient que Chinatsu lui avait dit qu’elle voulait parler de leur relation à son père. Plus tard, au gymnase, Chinatsu s’entraîne dur pour le prochain tour. Les personnages en arrière-plan commentent. Après le départ de tout le monde, Chinatsu est encore seule, repensant à ce qu’elle a dit à son père et aux pensées qui l’affligent. Alors qu’elle pratique son tir en suspension, Chinatsu s’arrête, tient le ballon, et s’accroupit. Taiki la trouve et lui parle.
Chinatsu : Qu’est-ce que je suis en train de faire ?
Taiki : Il l’a découvert ? Je suppose qu’il n’a pas bien réagi ?
Chinatsu : Ça ira. Tout est…
Taiki lui prend le ballon des mains Taiki : Pourquoi ne me laisses-tu pas m’en occuper ? Taiki sourit J’ai une suggestion.
La scène change alors que Père Kano retourne dans son appartement. Il vérifie son téléphone et ne voit aucun message de Chinatsu. Puis, on sonne à sa porte. En l’ouvrant, il trouve Taiki, tout sourire, qui se présente.
Taiki : Bonsoir ! Je suis Inomata Taiki ! Laissez-moi rester ici à la place de Chinatsu !||
Note de l’éditeur : Est-ce le début d’une nouvelle cohabitation ?!